Marijke @ Namur

Bonjour! 

Aujourd’hui j’ai participé à une excursion à Liège avec une groupe d’environ cent élèves de la quatrième année de l’école secondaire de Champion. Moi, j’ai dû accompagner environ vingt élèves de cette groupe. Je devais donc voire si ces élèves se comportaient bien à la gare de Liège-Guillemins, à l’exposition « SOS Planet » et au musée de la vie wallonne.

D’abord nous avons donc visité la gare de Liège-Guillemins. Cette gare très impressionante est une carrefour important du réseau ferroviaire belge. Il s’agit de la deuxième gare de la Région wallone en nombre de voyageurs, qui accueille environ 36.000 voyageurs chaque jour.

Dans la gare de Liège-Guillemins il y avait une exposition qui s’appelle « SOS Planet » et c’est cette exposition que nous avons visité ensuite. Les élèves devaient rentré en groupes de vingt personnes et j’ai alors accompagné une de ces groupes. Dans cette exposition on a mis l’Homme au cœur du débat du réchauffement climatique, l’homme à la fois victime et responsable et l’homme qui peut devenir l’acteur voire le maître de son destin. Le parcours de l’exposition reprennait ces quatres étapes naturelles de l’esprit humain dans sa volonté de conquérir le monde et de maîtriser le savoir.

L’habillage de l’exposition faisait appel aux technologies les plus pointues et aux objets et documents les plus spectaculaires, afin de favoriser une véritable prise de conscience du visiteur.

SOS Planet était la première exposition en Europe à présenter des films d’animation 3D et à présenter en première mondial l’utilisation de téléviseurs 3D sans lunettes. Cette technique exceptionnelle permattait de visualiser de manière spectaculaire des mécanismes tels que l’effet de serre, le cycle de l’eau, l’albedo et le cycle du carbone.

Les décors spectaculaires ont symbolisé les catastrophes éventuelles à long terme et ont mis en évidence l’interaction des changements climatiques avec d’autres problèmes qu’ils accentuent. Le visiteur pouvait par exemple traverser un tunnel de glace réfrigéré en ruissellement, il pouvait marcher avec précaution sur la banquise mouvante en cours de dislocation et sur le sol craquelé d’un rivière asséchée et il pouvait aussi pénétrer dans l’ambiance humide d’une maison presque inondée. Les décors en trois dimensions ont donc vraiment pu favoriser une véritable prise de conscience du visiteur.

Pendant l’après-midi nous avons alors visité le musée de la vie walonne. Le musée de la vie wallonne est le plus riche musée d’ethnologie de la Région wallonne. On y a reconstitué les atmosphères de la vie des Wallons d’hier comme par exemple la vie familiale (reconstitutions d’intérieurs), la vie rurale (travaux agricoles et forestiers), la vie urbaine (métiers des rues, petites industries et manufactures, mines), les croyances populaires, les jeux traditionnels, les instruments scientifiques et de mesure, les arts régionaux et cetera.

Les élèves devaient y rentré de nouveau en groupe de vingt personnes et j’ai alors de nouveau accompagné une de ces groupes. Les objets dans le musée et ce que notre guide racontait de ces objets étaient très intéressants et instructifs.   

Bisous!